Le Bilan Social Individuel (BSI)
La couverture sociale de votre entreprise est-elle optimale ?
Les éléments constitutifs du BSE
- Analyse de chaque prestation versée de manière unitaire (décès accident/maladie, invalidité accident/maladie)
- Segmentation par tranches de salaires
- La mise en perspective du taux de remplacement du salaire
- Identification de sur-assurances ou des lacunes d’assurances
- Préconisations sur le financement et les prestations
Les avantages du Bilan Social Entreprise
Vous pourrez également exploiter la synthèse de votre politique RH en mettant en lumière vos atouts sociaux. Cette communication vous donne un moyen non seulement de fidéliser vos collaborateurs mais aussi d’attirer de nouveaux talents au sein de votre entreprise.
La méthodologie de l’analyse BSE
- Recenser et analyser les couvertures
- Calculer les prestations pour l’ensemble de la population assurée
- Coordonner les couvertures
Une démarche unique en Suisse
- Les différents experts ne se parlent pas entre eux, en particulier les experts en prévoyance professionnelle (LPP) et les courtiers. Cela empêche les employeurs et les employés de bénéficier d’une vision claire de leurs propres couvertures sociales. En Suisse, ce problème est accentué par le fait que la prévoyance et l’entreprise sont entièrement séparées d’un point de vue juridique. Ces deux mondes ne communiquent pas entre eux. Dans le domaine de la gestion des couvertures sociales, nous disposons chez Qualibroker-Swiss Risk & Care d’un atout de taille puisque nous combinons, depuis 30 ans, le savoir-faire du courtier et de l’expert LPP (actuaire).
- Les règles de coordination sont particulièrement compliquées en raison notamment de la complexité des calculs et de la diversité des cas de figure envisageables. Qualibroker-Swiss Risk & Care a créé une application informatique, comprenant toutes les données de lois suisses, ainsi que le calcul des rentes AVS, AI, assurance-accidents, 2e pilier et assurances complémentaires.
Tableau de coordination
Source : Qualibroker-Swiss Risk & Care
Exemples de sur-assurance et de lacune
Lorsque survient une invalidité suite à un accident, l’assurance-invalidité (AI) verse en premier les prestations, puis intervient l’assurance-accidents obligatoire, l’assurance accident complémentaire et enfin, éventuellement, la caisse de pension. Dans certains cas, la quasi-totalité des prestations est versée par l’AI et l’assureur accident. En général, une invalidité des suites d’un accident est donc très largement couverte par le premier pilier et par l’assurance-accidents obligatoire. La caisse de pension reste souvent inactive.
Dans un tel cas de figure, entre l’AI, l’assurance-accidents obligatoire, l’assurance-accidents complémentaire et le deuxième pilier, l’employeur verse quatre cotisations, alors qu’au final l’employé ne pourra pas recevoir plus que 100% de son salaire. D’où des économies possibles pour les entreprises et pour les employés.
Il n’y a pas qu’en cas d’accident que des économies sont possibles. En fonction de ce que prévoit le règlement de la caisse de pension, c’est également le cas par suite de maladie. On ne peut naturellement pas gagner davantage suite à une invalidité qu’en travaillant.
Grâce au BSE, on peut également percevoir des lacunes : les conséquences d’un accident, par exemple, sont trop assurées alors que c’est l’inverse en cas de maladie, certaines catégories de personnes, en fonction de leur situation familiale ou salariale, sont globalement mieux couvertes que d’autres, etc. L’employeur peut ainsi corriger en amont ce qui peut l’être de manière à ce que chaque franc social dépensé le soit à bon escient.